Deux projets sont exposés jusqu'à vendredi à l'école d'arts plastiques, en lien avec le collège Descartes et le lycée professionnel du Verger.
L 'école d'arts plastiques a sa place au coeur de la cité. Elle peut seconder les méthodes de l'Éducation nationale. C'est un dialogue constructif. Mardi, Gildas Le Reste, directeur de l'école d'arts plastiques de Châtellerault, était particulièrement inspiré.
Il faut dire qu'il voyait deux projets aboutir, mené tout au long de l'année. A commencer par celui qui a occupé une partie de l'année cinq élèves de l'Unité localisée d'inclusion scolaire (ULIS), du collège Descartes. « L'objectif était de se servir des couleurs et des formes pour s'exprimer plutôt que par les mots qui leur posent problème », explique ainsi Erwan Venn, enseignant de l'école. Ils ont ainsi planché sur la « maison de leurs rêves » en travaillant plusieurs techniques : dessins, maquettes en terre cuite, puis en plâtre, intégration dans un décor réel par la photo, conception assistée par ordinateur.... du vrai travail d'architecte. « Ils étaient dans l'expérimentation, ils ont pu exprimer des choses personnelles, s'enthousiasme Alain Boireau, éducateur spécialisé qui encadre la classe. Pour eux, c'est vraiment exceptionnel, c'est unique. C'est la première fois qu'ils présentent leurs oeuvres dans un espace public. »
Six séances pour explorer la gravure
Pour les cinq élèves du lycée professionnel du Verger en CAP « conduite de systèmes industriels », encadrés par leur professeur d'arts appliqués Marie-Claire Tchakaloff, c'était aussi un grand jour : celui de l'aboutissement d'une série d'atelier gravure avec Laurent Chaouat, professeur de gravure à l'EAP. Au cours de six séances, ils ont pu explorer différentes de techniques de gravure en réalisant des oeuvres actuellement exposées. « C'est une façon de passer du manuel au technique et vice versa », commente Gildas Le Reste. Là aussi, un dialogue très constructif.
A découvrir dans le hall de l'école d'arts plastiques jusqu'à vendredi.
Il faut dire qu'il voyait deux projets aboutir, mené tout au long de l'année. A commencer par celui qui a occupé une partie de l'année cinq élèves de l'Unité localisée d'inclusion scolaire (ULIS), du collège Descartes. « L'objectif était de se servir des couleurs et des formes pour s'exprimer plutôt que par les mots qui leur posent problème », explique ainsi Erwan Venn, enseignant de l'école. Ils ont ainsi planché sur la « maison de leurs rêves » en travaillant plusieurs techniques : dessins, maquettes en terre cuite, puis en plâtre, intégration dans un décor réel par la photo, conception assistée par ordinateur.... du vrai travail d'architecte. « Ils étaient dans l'expérimentation, ils ont pu exprimer des choses personnelles, s'enthousiasme Alain Boireau, éducateur spécialisé qui encadre la classe. Pour eux, c'est vraiment exceptionnel, c'est unique. C'est la première fois qu'ils présentent leurs oeuvres dans un espace public. »
Six séances pour explorer la gravure
Pour les cinq élèves du lycée professionnel du Verger en CAP « conduite de systèmes industriels », encadrés par leur professeur d'arts appliqués Marie-Claire Tchakaloff, c'était aussi un grand jour : celui de l'aboutissement d'une série d'atelier gravure avec Laurent Chaouat, professeur de gravure à l'EAP. Au cours de six séances, ils ont pu explorer différentes de techniques de gravure en réalisant des oeuvres actuellement exposées. « C'est une façon de passer du manuel au technique et vice versa », commente Gildas Le Reste. Là aussi, un dialogue très constructif.
A découvrir dans le hall de l'école d'arts plastiques jusqu'à vendredi.
L.G.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire