Éric Toulis sera à Mondion, plus petite commune à accueillir le festival Les Heures vagabondes, samedi.
Éric Toulis : « Je fais de l'humour et de la chanson, un truc assez frenchy. » - (Photo DR, Levillain Kovalski) 
Beaucoup de gens qui viendront vous voir ne vous connaissent pas, présentez-vous un peu ?
« J'ai fait partie d'un groupe de musique du monde à teneur humoristique, Les Escrocs, puis je me suis lancé en solo et maintenant en duo. Je fraye entre le spectacle et le concert. Je suis un autodidacte assez complet qui joue de nombreux instruments. Je fais de l'humour et de la chanson, un truc estampillé frenchy mais qui n'est plus à la mode aujourd'hui. On est dans une période où il faut faire soit du Dubosc soit du Bashung. »
Bénabar m'a donné de bonnes conditions
Vous jouez dans la plus petite commune où se déplace le festival, est-ce une inquiétude ?
« J'avoue que je n'ai pas encore regardé précisément où on allait. Avec ma notoriété, qui n'est pas très grande, je suis habitué à varier et à jouer dans des endroits de différentes tailles, les Francofolies avec 13.000 personnes, comme un café-théâtre. J'ai l'habitude de m'adapter et on est plus à l'aise quand on voit les gens. On sera surtout content de tous se retrouver après une période de vacances. »
Vous avez été chanteur des Escrocs, aujourd'hui vous n'avez plus qu'un musicien, c'est pour répondre à la crise du disque ?
« Non, c'est juste un choix. Quand on fait un truc humoristique, on n'a pas besoin de tonnes de musiciens avec soi. J'ai fait un choix qui me laisse une grande liberté. La crise du disque est différente de celle de la scène. Cela dit, c'est une époque où on est moins appelé à jouer avec 25 musiciens. »
Votre producteur c'est Bénabar, est-ce que ça vous a aidé ?
« Il m'a filé un coup de main car c'est un très bon ami. On a suivi un peu la même route même si lui a eu un succès phénoménal. Il m'a donné les moyens d'avoir de bonnes conditions pour présenter le spectacle. Mais il n'a pas influencé le show. Ça a donné une crédibilité mais ce n'est pas énorme.
« J'ai fait partie d'un groupe de musique du monde à teneur humoristique, Les Escrocs, puis je me suis lancé en solo et maintenant en duo. Je fraye entre le spectacle et le concert. Je suis un autodidacte assez complet qui joue de nombreux instruments. Je fais de l'humour et de la chanson, un truc estampillé frenchy mais qui n'est plus à la mode aujourd'hui. On est dans une période où il faut faire soit du Dubosc soit du Bashung. »
Bénabar m'a donné de bonnes conditions
Vous jouez dans la plus petite commune où se déplace le festival, est-ce une inquiétude ?
« J'avoue que je n'ai pas encore regardé précisément où on allait. Avec ma notoriété, qui n'est pas très grande, je suis habitué à varier et à jouer dans des endroits de différentes tailles, les Francofolies avec 13.000 personnes, comme un café-théâtre. J'ai l'habitude de m'adapter et on est plus à l'aise quand on voit les gens. On sera surtout content de tous se retrouver après une période de vacances. »
Vous avez été chanteur des Escrocs, aujourd'hui vous n'avez plus qu'un musicien, c'est pour répondre à la crise du disque ?
« Non, c'est juste un choix. Quand on fait un truc humoristique, on n'a pas besoin de tonnes de musiciens avec soi. J'ai fait un choix qui me laisse une grande liberté. La crise du disque est différente de celle de la scène. Cela dit, c'est une époque où on est moins appelé à jouer avec 25 musiciens. »
Votre producteur c'est Bénabar, est-ce que ça vous a aidé ?
« Il m'a filé un coup de main car c'est un très bon ami. On a suivi un peu la même route même si lui a eu un succès phénoménal. Il m'a donné les moyens d'avoir de bonnes conditions pour présenter le spectacle. Mais il n'a pas influencé le show. Ça a donné une crédibilité mais ce n'est pas énorme.
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