Louis Chedid, tête d'affiche des Heures vagabondes, à Lencloître mercredi soir. - (dr) 
Il y avait Take That, Worlds apart ou Alliage. A la liste des boys band marquant des années 90, il faudra donc rajouter Louis Chedid. Mercredi soir, dans le magnifique parc du Pontreau de Lencloître, le maître es chanson française a montré qu'il pouvait être un vrai chef de bande, au milieu de cinq musiciens tous plus jeunes que son propre fils. Et en tant que meneur de troupe, il n'a pas hésité à laisser ses camarades d'un soir se mettre à leur avantage, à la basse ou à la guitare.
Lui s'est contenté d'assurer. Égrenant ses nombreux tubes, de Hold-up à T'as beau pas être beau en passant par God saves the swing ou Chaque jour est une vie. Apportant une dose d'émotion avec Les Absents ont toujours tort ou Anne ma soeur Anne. N'oubliant pas de faire la promotion de son dernier album avec « On ne dit jamais assez aux gens qu'on aime qu'on les aime » ou « Tu peux compter sur moi ».
De l'efficace, du professionnel, devant des milliers de spectateurs qui auraient sans doute aimé une petite rallonge et un petit supplément d'âme.
Lui s'est contenté d'assurer. Égrenant ses nombreux tubes, de Hold-up à T'as beau pas être beau en passant par God saves the swing ou Chaque jour est une vie. Apportant une dose d'émotion avec Les Absents ont toujours tort ou Anne ma soeur Anne. N'oubliant pas de faire la promotion de son dernier album avec « On ne dit jamais assez aux gens qu'on aime qu'on les aime » ou « Tu peux compter sur moi ».
De l'efficace, du professionnel, devant des milliers de spectateurs qui auraient sans doute aimé une petite rallonge et un petit supplément d'âme.
L.G.
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