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dimanche 19 février 2012

IUT : ce sont les anciens qui en parlent le mieux


L’IUT de Châtellerault organisait hier ses portes ouvertes. Professeurs, étudiants et anciens élèves étaient sur le pont pour l’occasion.
Benjamin Pignard, aujourd'hui employé chez Brunet à Poitiers, est revenu vanter les mérites de la formation du département Réseau et télécommunications. Benjamin Pignard, aujourd'hui employé chez Brunet à Poitiers, est revenu vanter les mérites de la formation du département Réseau et télécommunications.
L'IUT de Châtellerault, c'est – ou du moins c'était – comme à La Samaritaine : il s'y passe toujours quelque chose. Après la remise des diplômes voilà quinze jours, c'était hier les portes ouvertes. Tout au long de la journée, professeurs et étudiants étaient mobilisés pour présenter les locaux et les formations dispensées dans les trois départements : Techniques de commercialisation, Mesures physiques, et Réseaux et télécommunications.
Et pour assurer la promotion, rien ne vaut quelques anciens qui ont réussi. C'est ainsi que l'actuel directeur de l'agence du Crédit agricole du boulevard Blossac, ancien de Tech de co, est venu à la rencontre des futurs étudiants.
" Opérationnels tout de suite "
Au département Réseau et Télécommunications, les curieux étaient accueillis par Benjamin Pignard. Actuellement employé par l'entreprise Brunet de Poitiers, il a obtenu son DUT puis sa licence professionnelle sur le site châtelleraudais. N'ayant connu que « trois mois de chômage depuis le bac », il ne tarit pas d'éloges sur le cursus. « Les gens sont opérationnels tout de suite, vante-t-il, et c'est très prisé par les entreprises. En ce qui me concerne, la formation m'a ouvert à tout même s'il faut avoir quelques prédispositions. C'est plus formateur que des cours magistraux ou des formations génériques. » Sorti de Châtellerault, il n'a guère eu de difficulté pour trouver sa voie. « J'ai été appelé par HEC Paris pour un audit puis Brunet est venu me chercher. » Mais en dehors de la formation, c'est aussi la petite taille qui plaît. « Pour Tech de co, on est en concurrence avec La Rochelle et Tours, explique ainsi Sarah Warden, la directrice. Ce qui plaît ici, c'est le côté sécurisant, c'est une bonne transition entre le lycée et l'enseignement supérieur. » C'est aussi ce qui a convaincu Joffrey Beaucourt et William Benatier, anciens de Mesures physiques. « Ça reste une structure familiale, explique ce dernier. On est trente et tous les profs nous connaissent très bien. Et on se connaît tous très vite. » Ceux-là, venus à un forum d'anciens, n'ont donc pas eu de mal à convaincre leurs interlocuteurs de venir à Châtellerault.
Laurent Gaudens

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