Après avoir testé sa formule par le biais d’un blog notamment, Stéphanie Guérin se lance en tant que créatrice de cakes design.
Où ça peut mener, les enfants ? Pour Stéphanie Guérin, c'est à l'occasion de l'anniversaire de l'un de ses cinq bambins, que son avenir s'est révélé. « J'ai voulu faire un gâteau extraordinaire pour ma fille. J'ai trouvé des trucs sur des sites américains. Quand j'ai vu la réaction des enfants, j'ai trouvé ça magique. Et c'est devenu une vraie passion. »
Fonctionnaire au Cned, elle profite d'un congé parental pour entreprendre une reconversion en tant que créateur de « cake design ». « Ça n'est pas très connu en France alors que c'est là que c'est né à la fin du XIXe siècle. Aujourd'hui, ça marche surtout aux États-Unis et en Angleterre. »
A base de produits longue conservation, elle élabore les gâteaux les plus fous pour les occasions les plus diverses : des « Cars » en 3D, des Hello Kitty ou des Raiponce pour les anniversaires d'enfants ; un crâne pour un anniversaire gothique ; une bouteille de pétrus géante pour un salon ; un squelette à la Tim Burton pour un médecin… toutes les occasions sont bonnes ou presque.
« Certains peuvent demander jusqu'à 12 heures de travail, souligne Stéphanie. Mais on les mange à la fin et je veux qu'ils soient aussi bons. Je travaille beaucoup sur le goût. » Prochainement, elle fera une formation pour y réaliser une « tower cake » d'1,50 mètre qui nécessitera quatre jours de travail.
Méfiez-vous, car en 2013, vous risquez de la rencontrer sur de nombreux salons et foires-expositions : ces gâteaux font en effet fureur chez les traiteurs jusqu'aux grands chefs – Richard Toix fait appel à elle – jusqu'aux enterrements de jeune fille, durant lesquels il est très tendance de faire appel à elle pour des ateliers d'apprentissage.
A base de produits longue conservation, elle élabore les gâteaux les plus fous pour les occasions les plus diverses : des « Cars » en 3D, des Hello Kitty ou des Raiponce pour les anniversaires d'enfants ; un crâne pour un anniversaire gothique ; une bouteille de pétrus géante pour un salon ; un squelette à la Tim Burton pour un médecin… toutes les occasions sont bonnes ou presque.
« Certains peuvent demander jusqu'à 12 heures de travail, souligne Stéphanie. Mais on les mange à la fin et je veux qu'ils soient aussi bons. Je travaille beaucoup sur le goût. » Prochainement, elle fera une formation pour y réaliser une « tower cake » d'1,50 mètre qui nécessitera quatre jours de travail.
Méfiez-vous, car en 2013, vous risquez de la rencontrer sur de nombreux salons et foires-expositions : ces gâteaux font en effet fureur chez les traiteurs jusqu'aux grands chefs – Richard Toix fait appel à elle – jusqu'aux enterrements de jeune fille, durant lesquels il est très tendance de faire appel à elle pour des ateliers d'apprentissage.
" Mes enfants et mon mari sont mes premiers cobayes "
Mais elle prend encore le temps de cuisiner pour ses enfants. « Ce sont eux et mon mari mes premiers cobayes », prévient-elle. Car, malédiction de la cuisinière, Stéphanie Guérin n'a qu'un problème : elle n'aime pas le sucré et ne mange aucun de ses gâteaux. Tant mieux pour les autres.
Site internet : www.cookingsteph86.com Contact : tél. 06.64.46.63.51.
Laurent Gaudens
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